Tuesday, April 15, 2025

Donald Trump crie : « Il n’y en a pas à Munich »

Astrid Lund, organisatrice du fan club de Betty MacDonald : « Donald Trump m'a convaincue. Je vais acheter une Chevrolet maintenant. C'est mon rêve depuis toujours ! » J'espère que le pauvre Donald arrêtera alors de pleurer ! -------------------------------------------------------------------------------- L'Occident Donald Trump crie : « Il n’y en a pas à Munich » Marcel Görmann • 4 heures • 2 minutes de lecture Donald Trump attaque à nouveau l’Allemagne ! Son pays serait traité injustement dans le commerce international, c’est pourquoi il fait pression pour imposer de nouveaux tarifs douaniers. Lundi (14 avril), le président américain a cité un exemple du monde automobile. Trump a effectivement raison, mais cela a probablement plus à voir avec la qualité des véhicules. Trump se plaint des acheteurs de voitures de l'UE et de l'Allemagne Trump s’est plaint massivement de l’Union européenne auprès des membres de la presse. L’UE a été fondée « pour nuire aux États-Unis dans le domaine du commerce », a-t-il affirmé. Alors que les Américains achètent des millions de voitures européennes, l’UE n’acceptera pas de véhicules américains. Ils sont terriblement exploités par les Européens. Trump s’est alors plaint de manière très précise : « Il n’y a pas de Chevrolet à Munich ! » Mais ces temps sont désormais révolus, a annoncé le chef de l'État. Presque personne dans ce pays ne veut conduire une Chevrolet En fait, il n'y a actuellement qu'environ 124 000 voitures de la marque Chevrolet de Detroit immatriculées en Allemagne. C'est 9,1 pour cent de moins qu'en 2024. Mais ce n'est pas tant parce que les Allemands ont fondamentalement quelque chose contre les États-Unis, mais plutôt à cause de la qualité. VW, Mercedes et BMW sont tout simplement beaucoup plus populaires ici. L’année dernière seulement, près de 450 000 voitures ont été exportées d’Allemagne vers les États-Unis. Les États-Unis étaient donc la principale destination des exportations automobiles. Popularité des mots-clés : Les sondages aux États-Unis montrent que l’insatisfaction des Américains à l’égard de leur président augmente rapidement. Depuis la mi-mars, la proportion des opposants (actuellement 50,2 %) dépasse celle des partisans (47 %). Apparemment, même les citoyens américains commencent à en avoir assez de ce qui se passe à la Maison Blanche sous Trump.